Islande – L’Origine du monde

Trekking guidé par François-Eric Cormier

Les Hautes Terres « Fjallabak »: Ce trekking rassemble tous les étranges et fabuleux paysages des grands rifts volcaniques associés à ceux des toundras arctiques. Au cours des siècles, le volcan Hekla a vomi des coulées de lave impressionnantes et déversé des millions de tonnes de scories noires ou de ponces blanches sur les territoires alentour. Nous passerons, minuscules, à proximité d'Hekla qui était considéré au Moyen-Age comme les portes de l'enfer. En réalité, nous évoluons sur le rift actif des Hautes Terres.

Les Hautes Terres offrent une palette de contrastes extraordinaires, le noir des cendres et des coulées de lave, le bleu turquoise des lacs et rivières, les verts pâturages, les couleurs pastel des roches acides de la région de Landmannalaugar, la traversée de la caldera du Torfajökull, les teintes multicolores des solfatares et bassins d’acide de Hrafntinnusker, l’une des plus grandes montagnes d'obsidienne de la planète et la plus vaste zone géothermale d'Europe d’où jaillissent multitudes de solfatares et bassins acides et sulfureux bouillonnants.

Déroulement: Ce trek présente peu de difficultés pour de bons marcheurs. Toutefois, le parcours s’effectue à 99% hors sentier. Le relief, les passages de gués, les surfaces parfois molles ou sableuses et la météo parfois capricieuse peuvent rendre la progression fatigante. Durant le trek, une jeep privée avec une remorque assure le transport des bagages, le matériel cuisine et les vivres.

Nous marchons en moyenne 5 à 6h avec un sac léger. L'isolement est total, les conditions et le terrain changeants, aussi est-il important que l'équipement de chacun soit le plus complet possible. Les nuits se déroulent en refuges non gardés, au milieu des plus beaux sites de cette incroyable contrée. La gastronomie ne sera pas oubliée : saumon, morue, truite, gigot d'agneau seront au rendez-vous.

Ce voyage est spécialement conçu pour ceux qui désirent pleinement s’immerger dans la nature sauvage et découvrir des paysages jamais vus, ni peut-être imaginés. Une zone que j’arpente presque tous les ans depuis 1995 et j’espère pour longtemps encore.

Voir l'itinéraire et les informations détaillées ci-dessous.

Prix de référence que vous a transmis François-Eric : 2970 €

Merci de noter que :

Le prix du voyage est en ISK (Couronnes islandaises) qui est la devise nationale de l'Islande. Le prix indiqué en euro n'est qu'indicatif et peut fluctuer en fonction du taux de change à la date où vous payerez l'acompte d'inscription, puis le solde.

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Jour 1 : Vol de Paris ou Genève vers Reykjavik (qui signifie « la baie des fumées »). Situé à 50 km de la capitale, l’aéroport de Keflavik est établi sur la pointe ouest de la péninsule de Rekjanes. Au large de la baie, on aperçoit le volcan Snaefellsjökull que Jules Verne a mis en scène dans « voyage au centre de la terre ». Nous sommes à proximité de la faille éruptive active où la lave a jailli 2021 et 2022.

En minibus, nous gagnons le village de pécheur de Grindavik puis longeons la côte sud atlantique. Au village d’Hella, où se situe notre dépôt logistique, nous empruntons la piste de Fjallabak sud qui grimpe lentement vers les Hautes terres à travers les pâturages et les champs de lave moussue. Nous voilà dans l’ambiance unique de notre voyage. Nuit au refuge de Rjupnavellir « la vallée des lagopèdes » situé sur les flancs nord-ouest du volcan Hekla.

Jour 2 : Un court transfert en bus nous conduit au pied du massif de Valahnuka. Pour bien débuter notre randonnée, nous plongeons dans l’impressionnante faille éruptive de Valagjá. Un gué facile et magnifique annonce la traversée d’une coulée de lave datant de 1913. Des lichens argentés et des mousses de velours vert recolonisent les laves. En nous élevant vers une bouche volcanique rouge, issue du système volcanique de l’Hekla tout proche, nous prenons conscience de l’ampleur de l’immensité de la coulée de lave que nous venons de traverser. Nous poursuivons vers le lac de Saudleysuvath, tel un écrin au cœur des reliefs abrupts. Nous atteignons la sérénité des pâturages de Landmannahellir situé à proximité du magnifique lac poissonneux de Löðmundarvath. Nuit au refuge de Landmannahellir.

Jour 3 : Court transfert vers Landmannalaugar. Nous voilà sur la bordure nord de de la caldeira du Torfajoküll « le glacier terreux ». J’adore cette zone de 20 km de diamètre environ. Exploration de la formidable région de Landmannalaugar où nous progressons vers les massifs multicolores de palagonite. En cerise sur le gâteau, nous nous baignons dans la rivière d'eau chaude qui prend sa source au pied d’une coulée de lave (33°C: divin!). Nous ne serons pas seuls dans le bain, mais c’est a priori le seul endroit où nous croiserons du monde. Transfert de retour au refuge de Landmannahellir.

Jour 4 : C’est une longue et formidable journée de randonnée. C’est ma zone préférée d’Islande. Nous voilà explorateurs et pénétrons dans l’intimité de la caldeira en traversant Hrafntinnusker La métaphore « écueils du noir de corbeau » pour Hrafntinnusker est un bel exemple de la poésie métaphorique ancienne et naturelle de l’islandais. Elle signifie les récifs ou les écueils (Sker) d’obsidienne (Hrafn) pour corbeau et (Tinna) pour noir intense : une lave vitrifiée noire avec parfois des reflets bleus ou vert, coupante comme une lame de rasoir qui s’étale ici sur les doux vallonnements pastels de roches acides de la couronne de la caldera. Hrafntinnusker est le plus massif d'obsidienne de la planète et la plus vaste zone géothermale d'Europe où jaillissent une multitude de solfatares spectaculaires, fumerolles, sources thermales, mares de boue bouillonnantes... Pas de sentier, pas de piste 4x4 ! Absolument exceptionnel et inoubliable.  Nous sortons par l’est de la caldeira du Torfajükull au travers d’une coulée de lave déchiquetée, pour rejoindre le refuge de Dalakofi, situé au-dessus de la rivière Markarfjót.

Jour 5 : Plein sud, nous longeons les contreforts abruptes de Laufafell haute citadelle volcanique jusqu’au lac de Laufavath et sa zone de pseudos cratères. Nous poursuivons sud-est vers le long lac de Skyggnisvath. Nous jouons avec les reliefs pour atteindre le nouveau refuge d’Hungufit agréable et spacieux. Nous sommes au pied du massif des Tindfjöll qui se présente comme une grosse masse montagneuse couronnée d’une multitude de petits pics (d’où son nom) entre lesquels s’étale un glacier ramifié. En fait cette montagne a dû certainement être le plus grand volcan d’Islande et les spécialistes pensent qu’il dépassait les 3000 m d’altitude. Il se serait effondré dans un cataclysme gigantesque il y a environ 6000 ans. Aujourd’hui le point chaud s’est déplacé vers l’Hekla et vers le petit voisin Eyjafjallajökull qui a tant fait parlé de lui au printemps 2010.

Jour 6 :  Un court transfert nous conduit à proximité de Krokur. Nous  traversons d'étranges paysages verdoyants pour découvrir Thorlahup « le saut de Thor » mythiques et magnifiques profondes gorges colorée de l'impétueuse rivière Markarfljót. Au passage d’un col, les immenses glaciers du Myrdalsjökull et Eyjafjallajökull s’imposent à nous. Le long de la rivière, nous gagnons le refuge de Hvanngil où nous serons un peu serrés.

Jour 7 : Nous débouchons soudain sur l'étrange platitude de sable noir de Mælifellssandur bordée par l'imposante calotte glaciaire du Myrdalsjökull « le glacier des marais » (30 fois la Mer de Glace). A l’est de cette immensité noire se dresse tel un Mont Saint Michel tellurique, le cône parfait et solitaire de Mælifell, recouvert d'une mousse fluorescente (Yann Arthus Bertrand l’a immortalisé dans son livre « La terre vue du ciel » et Matthieu Ricard (porte-parole du Dalaï Lama) l’a placé en couverture de son dernier livre. A l'est de ce petit désert nous gagnons l'abri des collines au pied du Torfajökull où se trouve le beau et chaleureux petit refuge de Strútur. C’est mon refuge préféré des Hautes Terres. J’adore. Nous y restons 2 nuits.

Jour 8 : Nous explorons à pied la région autour de Strútur pour parcourir les paysages étonnants entre le flanc sud de la caldeira de Torfajökull et le dôme imposant de la calotte glaciaire de Mýrdalsjökull.
Le calme lac de Holmsarlon au couleur turquoise se déverse brusquement par une série de cascades toutes plus belles les unes que les autres. Là naît la magnifique rivière torrentueuse de Holmsá. Elle plonge dans les cratères de Rauðibotnar "les Fonds rouges" appartenant à la faille d’Eldgjá « la gorge de feu », la plus grande faille éruptive à la surface de notre planète datant seulement du 10ème siècle.

Par un gué exceptionnel, nous gagnons la sérénité du lac de Rauðibotnar, sérénité qui contraste avec l’enfer qui a régné lors de la création.
De loin nous dérangeons des compagnies d'oies qui en mai-juin ont niché en paix dans cette région reculée et alors impraticable. Elles s’envolent à notre approche pour se poser à nouveau un peu plus loin.
Fin juillet, début août, lorsqu’elles sont en mue et ne peuvent plus voler, il n'est pas rare d'approcher avec précaution une troupe de bernaches nonettes ou d'oies à bec court à peine inquiétées par notre présence.

Par un court transfert, nous retrouvons le refuge de Struktur pour fêter la fin de notre trek, sans doute avec un gigot d’agneau cuit à la braise.

Jour 9 : Retour en bus privé via la côte sud Atlantique et balades sur quelques sites côtiers remarquables. Chut, c’est une surprise ;-) Nous atteignons Reykjavik en milieu d’après-midi. C’est la capitale la plus septentrionale de la planète. Rapide découverte de la capitale, du port. Nous nous offrons un dîner dans un très chouette restaurant de poissons. Nuit en auberge très confortable situé au pied de la cathédrale, à 2 pas du centre.

Jour 10 : Transfert matinal et vol de retour.

Je tiens à limiter la taille des groupes afin de garantir la qualité de la prestation et le plaisir de chacun.

Groupe de 10 à 12 participants.

Le prix du voyage est établi le  24/09/22  sur la base des cours de change  et des prestations connues à ce jour et est susceptible de réajustements d'ici la date du départ.

Itinéraire et sécurité : le programme jour par jour peut être modifié ou même inversé. Cependant assez rares, ces changements sont imposés pour des raisons de sécurité dues à des phénomènes naturels spécifiques du lieu : volcanisme, enneigement précoce ou tardif, intempéries, rivières en crue, météo exceptionnellement défavorable… Le guide connaît parfaitement le terrain et est seul maître à bord lorsqu’il faut interpréter les caprices de la nature toute puissante sur cette terre volcanique, et sous ces hautes latitudes, et prendre les décisions nécessaires.

Niveau des participants :

Le trek se déroule hors-piste, ce qui est plus exigeant physiquement que marcher sur un sentier. Les conditions météo changeantes peuvent accentuer la dépense énergétique. Il est donc nécessaire d’être un bon marcheur doté d’une bonne humeur J et de l’envie de vivre de beaux moments partagés.

Hébergement pendant le trek : Logement en sac de couchage (le vôtre) dans des refuges et cabanes de montagne : Couchettes avec  matelas confortables. Eau courante et cuisine dans le refuge, mais les wc et lavabos sont en général à l’extérieur à quelques mètres dans un petit un petit bâtiment à part. Des douches chaudes payantes sont disponibles dans certaines cabanes.Si vous ne souhaitez pas trop de promiscuité pendant les heures de sommeil ou plus d’intimité, nous vous proposons la possibilité de dormir sous tente à condition de nous prévenir en avance. Sur les treks où il est prévus des nuitées en camping, les campements sont composés de tentes doubles (ou single sur demande) avec un matelas confortable et isolant et d'une grande tente mess équipée.

Electricité : prévoir suffisamment de piles pour votre appareil photo car il ne vous sera possible de recharger piles et batteries. Prenez aussi un chargeur normal (220v pour prises standard européenne) car il y a certains refuge qui ont l'électricité.

Nourriture : Nous sommes fiers de fournir la meilleure cuisine dans les hautes-terres ! Le petit déjeuner est de style scandinave, avec muesli, pains, confitures, poisson fumé, charcuterie et fromage. Les piqueniques sont un peu répétitifs au bout d’une semaine (nous sommes en Islande), avec une variété de sandwich, de viandes fumées et de poissons, d’excellent fromages locaux, salade verte, tomates et concombres. Les dîners, variés et souvent excellent, comprennent des plats de poisson et de viande d’agneau, servis avec des pâtes, du riz ou des pommes de terre, des légumes et une salade verte.

Pour la convivialité, mais sans obligation, vous pouvez apporter de chez vous une spécialité de votre pays d'origine ainsi qu'une bonne bouteille pour vos apéritifs au bout du monde.

Nourriture, régimes spéciaux : Il est essentiel que les végétariens précisent ce qui est banni de leur menu, comme ceux qui souffrent d'allergies alimentaires (au lactose, au gluten, etc.). Il est important que vous nous préveniez de vos exigences alimentaires spéciales au moment de la réservation. Si la liste est longue ou s’il y a danger par rapport à certaines allergies, merci de nous donner des précisions par un mail détaillé envoyé à matta@fjallabak.is  Ceci afin que l‘équipe de notre entrepôt (lager) puisse en tenir compte dans la préparation des vivres. Votre guide sera au courant de votre régime, mais il n’a pas forcément la vocation d’un naturopathe, et donc ce sera à vous de le lui en reparler dès le début du voyage au moment de la préparation du premier repas ! C’est aussi à vous de contrôler à chaque repas, que cela vous convient.

Nous ne pourrons satisfaire qu’en partie les végétaliens qui devront donc emporter dans leur bagages les compléments alimentaires dont ils ont besoin.

Encadrement :Francois-Eric est assisté d'un chauffeur du 4x4 d’assistance qui transporte l’équipement et les bagages entre le refuges.

Véhicule d’assistance : Un assistant guide avec sa jeep et une remorque tout-terrain s’occupe du transport des bagages, du matériel et des vivres. Le véhicule peut embarquer une personne fatiguée sur une étape le cas échéant. Nous ne voyons pas ce véhicule pendant la journée, car celui-ci emprunte des pistes que nous croisons que rarement.  Notre impact carbone est moindre car la moyenne kilométrique du véhicule, n'excède pas 30km/jour.

Préparation du voyage et notes: Il s'agit d'un trekking  assisté de refuge en refuge. Au pic de la saison, ou si nous devons nous dérouter, nous pouvons camper pendant une nuit ou deux. Le niveau de marche est de modéré à soutenu. Vous ne portez qu'un léger sac contenant ce dont vous avez besoin pour la journée. Ce trek ne présente aucune difficulté sérieuse pour les personnes en bonne forme physique ayant au moins une certaine expérience de longue marche en montagne.

Votre guide attentionné mène le trek. Nous ne sommes pas au Népal mais en Islande, aussi on s'attend à ce que les membres du groupe, à tour de rôle, donnent un petit coup de main à leur guide pour la préparation des repas, mettre le du couvert, faire la vaisselle et passer un coup de balais avant de quitter le refuge; monter et démonter la tente quand on campe. Une fois dans les montagnes, le groupe devient une entité indépendante. La camaraderie, le travail d'équipe et les amitiés forgées, ajoutent beaucoup à la richesse de l'expérience de chaque personne. Ce trek passe par des zones totalement désertiques. La plus grande partie de la marche est hors-sentier, avec des conditions de terrain en constante évolution. Par conséquent, des chaussures de randonnée robustes, et faites à votre pied sont un must. La plupart des jours impliquent des passages de rivière à gué, aussi il est essentiel de ne pas oublier ses sandales. Consultez la liste d'équipement pour plus d'informations.

Vous randonnez 6-7 heures par jour, en moyenne, mais cela peut être plus long, selon les conditions météorologiques, le niveau moyen du groupe. L'altitude maximale ne monte pas plus de 1000m. Le changement d'altitude pour la plupart des jours ne dépasse pas 300 m.

Bagages :

  • Grand sac de voyage de trekking (Duffle bag) en toile impermeable 95-100 litres maximum (pas de valise rigide)
  • Sac à dos de randonnée 30-40 litres imperméable ou avec house imperméable

Chaussures :

  • Chaussures de trekking tenant bien les cheville et les pieds, légères, comfortables, solides et imperméables.
  • Sandales de randonnée pour passer les gués et pour le refuge. de préférence recouvrant les doigts de pied, type Keen Newport.

Vêtements :

  • Sous vêtements réguliers. Synthétiques ils sont faciles à laver et à sécher
  • Caleçons longs iso thermiques en polyester capilène
  • Maillot de corps à manche longue en capilène ou (luxueux) en laine mérinos naturelle
  • Tee-shirt iso thermique, à manches longues de préférence
  • Pull ou veste en laine polaire (Carline)
  • Pantalons de montagne
  • Short
  • Veste ou gilet en duvet (après mi-août)
  • Chemise laine & fibres confortables
  • Pantalon en fourrure polaire pour le confort le soir (en hiver et à partir de septembre)
  • Chaussettes en laine crue naturelle bouclée ou synthétique (quelques paires)
  • Bonnet en laine
  • Gants en laine étanches
  • Chapeau pluie/soleil sauf en hiver
  • Surpantalon ou salopette en Goretex
  • Veste en Goretex avec capuche
  • Sandales de randonnée pour passer les gués et pour le refuge
  • Veste en duvet (en automne)

Accessoires de voyage

  • Sac de couchage spacieux (-10°C à + 10°C)*  avec fermeture éclair pouvant servir de couette
  • Drap de lit en coton  sans élastique pour mettre entre vous et le matelas dans les refuges
  • Petit oreiller calle tète (facultatif)
  • Gourde incassable
  • Lampe frontale  (indispensable à partir d’août)
  • Canif (N’oubliez pas de le ranger dans le bagage de soute)
  • Maillot de bain
  • Serviette-éponge type Speedo ou Packtowl (très pratique !)
  • Trousse de toilette
  • Pharmacie personnelle (Électroplaste, aspirine, pansements)
  • Crème solaire hydratante et stick lèvres
  • Lunettes de soleil hautes protection et étui
  • Matelas léger de bivouac auto gonflable (pour les raids avec portage uniquement)

Accessoires facultatifs mais recommandés

  • Bâtons de marche télescopiques
  • Paire de jumelles plates
  • Sifflet puissant (brouillard)
  • Filet Anti-Insectes protection tête-visage en juin et juillet
  • Piles ou batteries de rechange
  • Chargeur de piles sur secteur (220V) prise européenne
  • Petit kit de couture
  • Crayon papier + petit carnet
  • Bon bouquin
  • Guide (ornithologique, botanique, géologique)
  • Snack / Confiserie
  • Suppléments protéiniques si vous êtes végétarien
  • Stock personnel de vivres si vous êtes végétalien
  • Boules Quies (facultatif)
  • Masque opaque de sommeil en tissus de mai à fin juillet (facultatif)
  • Filet Anti-Insectes protection tête-visage en juin et juillet *
  • Une petite spécialité de votre « terroir », (convivialité) ex : fromage, petit saucisson…
  • Une ou deux bouteilles de bon vin (facultatif mais très apprécié)

* Il n'y a pas de moustique en Islande (pas encore), mais au début de l'été des nuées moucherons envahissent les bords des rivières et les lacs des basses terres comme le Lac Myvatn "lac des moucherons". Avec le réchauffement du climat les moucherons commencent à coloniser maintenant certaines zones des terres plus hautes pourvues de végétation humide. Les périodes d'éclosion sont courtes, mais extrèmement pénibles pour le randonneur, aussi des gants une chemise à manche longue et surtout un filet de protection qu'on enfile sur la tête par dessus le chapeau ou le bonnet peut vous sauver si vous vous retrouvez un jour sans vent au milieu de nuées de ces très énervantes bestioles. Vous ne vous en servirez certainement pas mais vous serez soulagés de l'avoir le cas échéants... et ce n'est pas un énorme investissement.

Cette carte est interactive. Cliquez sur les îcones et les pistes pour obtenir plus d'informations et des photos.

(Si vous zoomer de plus prêt, le paysage change à un paysage d'hiver car les images satellites ont été prises en hiver. Ne vous inquiétez pas, vous devrait échaper à la neige).